Le voilà, Tonton SnO, avec ses vidéos, il revient, tonton SnO et c’est toujours un cadeauuu… (bon là, j’espère que vous connaissez tous le générique d’Albator parce que sinon mon entrée risque de se dégonfler comme un gâteau sorti du four sans Vahiné parce que Vahiné, c’est gonflé!!!)
A c’qu’il paraît, j’vous ai manqué, vous vous demandiez où j’étais, c’était l’angoisse et tout et tout. Tous les Dimanches au réveil, vous vous jetiez sur ilovemusicnotes pour voir si j’allais vous donner de mes nouvelles et puis en découvrant cette page blanche, vous vous mettiez à pleurer, inconsolables comme ces pauvres petits chiots aux grands yeux plein de larmes qu’on abandonne sur le bord de la route avant de partir en vacances, certain(e)s ont même essayer de mettre fin à leurs jours tellement l’attente était insupportable (en même temps comme je les comprends, rien qu’à l’idée d’être quelques instants séparé de moi-même, j’me sens pas bien…). Comment ça non? comment ça vous vous en aviez rien à foutre? Même pas un tout p’tit peu? Que dalle? Pas une toute petite larmichette un jour de grand vent, rien? Allez quoi, bande d’ingrats, moi qui vous ai donné les meilleures années (semaines) de ma vie, moi qui est été comme une mère pour vous, ou presque. J’suis tellement déçu que j’ai presque envie de pas la faire cette chronique mais bon vu qu’on parle de mère et que quand vous vous réveillerez ça sera leur fête à nos chères petites mamans, j’vais vous faire une sélection spéciale mères, quoi femmes, quoi filles qu’on voudrait comme mères (de nos enfants, lol, oh ça va j’plaisante…), quoi j’m’embrouille mais c’est bon vous m’avez compris.
On commence avec la plus belle, la fille qui a inventé le bisou qui soigne qu’utilisent toutes les mamans du monde, la tatie que tous les enfants rêvent d’avoir, celle qui peut faire s’envoler le plus gros des chagrins avec juste un sourire, celle qui est présente sur tous les battles (même junior), les plateaux télés, les goûters d’anniversaire (sauf le mien GRRR! Pourquoi t’es pas venue, hein? Y’avait même un clown et de la Savane de Brossard…) qui donne de son temps et de son amour à tellement de monde (mais qui met jamais de nouvelle vidéo d’elle), la seule, unique et, comment dire, tellement wahoooou (ça c’est bien dit) Malika Benjelloun:
On reste dans le sourire qui fait du bien avec la digne héritière de tatie Malou pour ce qui est de la gentillesse et du sourire, une fille qui est un réel bonheur à chaque fois que tu la croises et qui, malgré son jeune âge, est là depuis un bout de temps, elle aussi, j’ai nommé Laura (Nala) pour une p’tite vidéo Freestyle aux côtés de Deyvron dans les coursives du JD 2014 histoire de vous montrer ce qu’on appelle la complicité, le partage, le bonheur d’être ensemble, tout ça, tout ça et pas juste des steps, un battle ou je sais pas quoi, non, parce que la danse ne se résume pas juste à de la danse (là j’espère que vous m’suivez…) et rien qu’pour ça, ça mérite d’être regardé:
C’est pas mignon tout plein? Ben moi, ça m’donne envie de chanter, tiens: “Ingonyama bagithi baba sithi uhhmm ingonyama”. Vous vous demandez c’que c’est, ben c’est le début de “L’histoire de la vie” vous savez la chanson du roi Lion, Nala, Mufasa, tiens Mufasa (mais quelle transition, quel talent, vraiment, des fois j’me demande comment j’fais lol), si j’vous parlais un peu de Mufasa et pas que de son sourire et de sa gentillesse mais aussi de sa danse et en l’occurrence de la précision de la choré, de la synchronisation avec Jillian Meyers, de la joie transmise et de tout c’qui fait que la vidéo qui suit est à voir et à écouter à fond (parce que Jammin’ de Steevie Wonder) encore et encore tellement c’est bon…
Qui dit précision, synchronisation tout ça, tout ça dit Swaggers, mais des Swaggers au caractère latin corsé et sensuel, avec un port de tête, des mouvements de mains, des accents de Flamenco, des touches de Waacking, saupoudrées de Popping, entourées de Hip-Hop et avec une musique qui te donne des frissons, bref, de la danse, des émotions, un vrai coup de cœur:
https://www.youtube.com/watch?v=5Rd4tBACVgc
On continue ce tour des filles qui font plaisir, avec des p’tites jeunes qui n’en veulent, qui commencent à bien représenter partout où elles passent et qui sont à suivre parce qu’elles nous promettent de bien belles choses. Ici, elles nous racontent une histoire, notre histoire ou plutôt celle de notre danse, ce que certains semblent avoir oublié. Pour savoir où l’on va, il est peut-être important de savoir d’où l’on vient (c’est beau c’que j’dis, putain si j’continue j’vais faire des chansons avec Pascal Obispo… merde, faut qu’j’arrête) alors merci Expression Art d’corps de nous le rappeler.
Et pour finir en beauté, je vais laisser la place à la jeunesse (tout du moins dans l’esprit) avec une femme que vous avez peut-être (sûrement) vue à la télé, une femme qui a arrêté d’être danseuse pour être femme et surtout mère pendant de nombreuses années. Une femme qui a tout fait pour les siens et qui, à la mort de son mari, a demandé la permission de se remettre à danser. Une femme dont le regard fait tellement de bien. Une femme qui, en ce jour si particulier, est aussi là pour nous rappeler ce que les mères sacrifient pour leurs enfants. Pensez-y un peu quand vous serez avec la vôtre…
Voilà, c’est tout pour cet article spécial mères, filles, sourire, amour, cœur et danse (ça fait un peu Amour, Gloire et Beauté, non?) . J’aurais aussi pu remettre Linda vs Martha pendant ILTD ou la rencontre entre Johanna et Ludo aux HHGC tellement c’était beau mais j’veux pas non plus trop me répéter. Non, parce qu’il est pas encore totalement gâteux le tonton SnO et ouais si tu comptes pas son déambulateur et sa hanche en plastique, c’est encore un jeune homme. LOL, allez, j’vais m’coucher parce qu’encore une fois, il est super-tard et qu’il faut qu’j’me lève assez tôt pour que ma maman ait son cadeau.
@+ près des cactus…